Libération, Le Monde
Dernier des immobiles, Nicole Sornaga
In Le Monde stellt Isabelle Regnier eine Filmreihe des Centre Pompidou vor, die sich dem nicht-kommerziellen, d.h. meist: experimentellen Remake von Hollywood-Filmen widmet:
Entre cinéma classique, expérimental et art contemporain, la nouvelle programmation du Centre Pompidou se présente comme une variation sur la notion de remake. Historiquement, elle remonte à 1909, date où Segundo de Chomon réalise Excursion dans la Lune, une réplique plan par plan du Voyage dans la Lune de Georges Melies.
Brice Pedroletti berichtet vom Filmfestival in Shanghai, neuen Aufbrüchen des chinesischen Kinos vor allem ins Kommerzielle, exemplarisch zu sehen am Film "Shouji":
Shouji ("Téléphone cellulaire"), du réalisateur à succès Feng Xiaogang, numéro un du box-office chinois et projeté au festival, est un bon exemple de ce nouveau cinéma commercial chinois. Intégralement sponsorisé par des marques privées, le film a aussi été cofinancé par Columbia Tri-Star. Fable contemporaine, Shouji raconte les déboires d'un animateur de télévision qui roule en BMW et dont la femme découvre les aventures extraconjugales par le biais de son téléphone portable. L'instrument, symbole le plus voyant de la modernisation des modes de vie chinois, conduira à d'autres déconvenues.
Besprochen wird ganz ausführlich und ganz außerordentlich wohlwollend der Film "Le dernier des immobiles" (Website des Films mit englischer Erläuterung), der zwischen Doku und Fiktion schwankt und sich um den wirklichen/fiktiven gelähmten Dichter Matthieu Messagier dreht. Es scheint die Sorte Film zu sein, aus der man erst schlau wird, wenn man sie wirklich sieht. Aber hier schon mal die erstaunliche Ahnenreihe:
Nicola Sornaga, 32 ans, est héritier du clan des rêveurs du cinématographe : Abel Gance et sa farce à miroirs déformants (La Folie du docteur Tube, 1915), Fernand Léger et son Ballet mécanique (1924), René Clair et ses trucages optiques sur scénario de Picabia (Entracte, 1924), Bunuel et Dali faisant rugir leur Chien andalou (1938), Isidore Isou militant pour le cinéma discrépant, tant d'autres, dont Man Ray, Jean Cocteau, Guy Debord citant François Villon ("Le monde n'est qu'abusion"), Philippe Garrel au pays des hautes solitudes, ou Godard tout bêtement, yeux fixés sur l'enfance de l'art. Sans oublier tous ceux qui ont fantasmé sur les pouvoirs de la caméra : Apollinaire, Cendrars, Tzara, Artaud, Breton, Soupault, Desnos.
In Libération ein Interview mit dem Regisseur Christophe Gans ("Pakt der Wölfe") über sein neues Projekt, die Verfilmung der Comicserie "Rahan" - und ein Videospiel "inszeniert" er auch gleich dazu. Und die Besetzung der Titelrolle steht auch schon fest:
C'est Mark Dacascos qui sera Rahan, il a le prérequis athlétique indispensable pour le rôle et, d'origine gréco-philippine, il est de peau claire mais très métissé. C'est une solution idéale.
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